Par Aldar / Analyse
La décision du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) de se dissoudre et de mettre fin à sa lutte armée après quarante années de combat constitue un signal fort adressé au Front Polisario, qui continue de s’accrocher à ses illusions séparatistes.
Ce tournant majeur devrait servir de leçon à toutes les parties encore figées dans le passé, car il est désormais évident qu’il n’y a plus de place pour les projets séparatistes dans un monde qui rejette toute forme de division.
Le message qu’on ne peut ignorer est que l’ère des milices est révolue. Le monde d’aujourd’hui aspire à des solutions réalistes, qui préservent l’unité des États et respectent leur souveraineté.
La solution proposée par le Royaume du Maroc, à travers l’initiative d’autonomie pour le Sahara marocain, est aujourd’hui l’option la plus largement acceptée à l’échelle internationale. Elle constitue la seule issue capable de mettre fin à ce conflit artificiel.
Il est désormais impératif que la direction du Polisario prenne conscience que sa persistance à refuser le retour à la patrie ne mènera qu’à davantage de pertes et de fragmentation. Il est temps d’abandonner les armes et de revenir dans le giron du Maroc, pour contribuer à bâtir un avenir prometteur sous la devise : « Dieu, la Patrie, le Roi ».
