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Le 38e sommet de l’Union africaine, qui s’est tenu dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba, a été le théâtre d’un événement diplomatique majeur avec l’élection de Mahmoud Ali Youssef, ancien ministre des Affaires étrangères de Djibouti, soutenu par le Maroc, à la présidence de la Commission de l’Union africaine. Youssef a obtenu 33 voix sur 49, surpassant ainsi ses principaux concurrents : Raila Odinga, soutenu par l’Algérie et l’Afrique du Sud, et Richard Randriamandrato de Madagascar.
Ce résultat représente une victoire diplomatique significative pour le Maroc, qui a réussi à mobiliser un soutien régional en faveur de son candidat. L’élection de Youssef, une figure d’expérience dans les affaires africaines, témoigne de la confiance dont bénéficie le Royaume du Maroc sur le continent africain, ainsi que de la force de sa présence sur la scène continentale.
En plus du succès du Maroc dans ce domaine, cette élection reflète une évolution notable dans les relations entre les pays africains, avec un continent qui entre dans une nouvelle phase de coordination et de coopération pour atteindre les objectifs communs dans divers domaines. L’élection de Mahmoud Ali Youssef renforcera également les opportunités de coopération régionale entre les États membres de l’Union africaine, et reflète une tendance à construire un système continental plus stable et plus efficace.
Ainsi, cet événement marque un succès pour le Maroc dans le renforcement de sa position sur la scène africaine, et ces résultats confirment que le continent africain est prêt pour davantage de coordination à l’avenir, sous une direction sage et influente.
