
ALDAR / Analyse
La chaîne “France 24”, longtemps connue pour ses positions hostiles au Maroc et à son intégrité territoriale, commence à modifier sa ligne éditoriale à propos de la question du Sahara marocain. En effet, la chaîne française a entamé la diffusion d’un contenu médiatique plus équilibré concernant les provinces du sud du Royaume, allant même jusqu’à promouvoir ces articles via des campagnes sponsorisées sur les plateformes de Meta – une première qui témoigne d’un changement remarquable dans le traitement de cette question par les médias français.
Ce revirement ne peut être dissocié de la nouvelle réalité diplomatique que le Maroc impose avec confiance et sérénité sur la scène internationale. Avec l’augmentation du nombre de pays reconnaissant la souveraineté du Maroc sur son Sahara, et la multiplication des partenariats stratégiques unissant le Royaume à des puissances internationales majeures, il devient difficile pour les grands médias d’ignorer cette donnée géopolitique évidente.
Il est notable que ce changement ne relève ni de la complaisance ni de la prise de risque, mais découle d’une nécessité médiatique imposée par une réalité devenue incontournable : un discours partial est désormais en décalage avec les faits. Grâce à sa constance diplomatique, à son progrès économique et à sa stabilité politique, le Maroc a réussi à mettre ses adversaires dans l’embarras et à redéfinir les contours du débat international sur la question du Sahara — non seulement au niveau des gouvernements, mais aussi au sein même des institutions médiatiques qui se considéraient naguère au-dessus de toute influence.
Des analystes estiment que le recours d’une chaîne comme “France 24” à des campagnes sponsorisées pour des contenus traitant du Sahara marocain constitue une reconnaissance indirecte de l’importance de la présence numérique marocaine, ainsi que de sa capacité à influencer l’opinion publique internationale, en particulier dans l’espace francophone.
Ainsi, après des années de traitement erroné et partial, certains médias se voient aujourd’hui contraints de revoir leurs positions, non par repentir, mais par réalisme médiatique, un réalisme que le Maroc impose désormais par la force de ses réalisations et la clarté de sa vision.