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En Colombie, les voix politiques et médiatiques se sont multipliées pour alerter sur les dangers que représente le Front Polisario, après la publication d’un rapport de l’institut américain Hudson révélant ses liens étroits avec des réseaux de terrorisme international.
La sénatrice Paola Holguín, membre de la Commission des Affaires Étrangères du Sénat colombien, a publié sur la plateforme X (anciennement Twitter) un message appelant clairement à classer le Polisario parmi les organisations terroristes étrangères, en se référant aux données alarmantes et vérifiées contenues dans le rapport américain concernant les activités de ce mouvement et de ses soutiens.
Lien du post : PaolaHolguin sur X
Dans le même esprit, le sénateur Germán Blanco, membre de la Commission Constitutionnelle, a exprimé son refus catégorique de la reconnaissance par Bogotá de la soi-disant « république sahraouie », en s’appuyant sur le même rapport, qui révèle – selon ses propos – le vrai visage du Polisario et ses connexions avec des réseaux de radicalisme transfrontalier.
Lien du post : GermanBlancoA sur X
Les mises en garde ne se sont pas limitées à la sphère politique. Le quotidien colombien Primicia Diario a publié une enquête approfondie intitulée : « Terrorisme camouflé : le visage caché du Front Polisario révélé à Washington », dans laquelle le journal revient sur les éléments du rapport de l’Institut Hudson, mettant en lumière des preuves et analyses confirmant l’implication du Polisario dans des activités illégales menaçant la sécurité régionale et internationale.
Lien de l’article : Primicia Diario
Ces développements interviennent dans un contexte où les appels internationaux se multiplient pour reconsidérer la position de certains pays à l’égard du Front Polisario, à mesure que les soupçons sur ses relations avec des groupes extrémistes et des organisations douteuses se renforcent.