ALDAR / Analyse
Ce soir, le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra une réunion à huis clos pour discuter des développements du dossier du Sahara marocain, à un moment crucial d’un long processus qui a occupé les Nations unies pendant des décennies. Cependant, la réalité sur le terrain commence à s’imposer et joue en faveur du Maroc.
Lors de cette réunion, Staffan de Mistura, l’envoyé spécial de l’ONU, dévoilera les faits concernant le conflit et mettra fin à ce qu’on appelle “la séparation”, qui n’a aucune base réelle. Le chef de la mission de la MINURSO présentera également un rapport sur le terrain concernant les violations continues des milices du Polisario et les interventions de l’Algérie qui entravent la stabilité de la région.
Le Maroc ne se rend pas à New York aujourd’hui pour justifier ses positions, mais il y va avec une confiance totale, soutenu par un nombre croissant de reconnaissances internationales qui appuient son initiative d’autonomie, saluée largement par les grandes puissances comme une solution sérieuse et réaliste. En revanche, d’autres continuent à poursuivre le rêve du référendum, répétant des slogans anciens qui ne trouvent plus d’écho, même parmi ceux qui les promouvaient.
Ce soir, tous les regards seront tournés vers le Conseil de sécurité de l’ONU, dont la décision aura un impact majeur sur l’évolution de ce conflit et les efforts de règlement. Certains misent sur des rêves du passé, tandis que d’autres écoutent la voix de la raison et reconnaissent la réalité de la solution marocaine, fondée sur le réalisme et la légitimité internationale.
Aujourd’hui, il sera clair qui soutient la solution et qui cherche à prolonger le conflit, qui veut construire un avenir pour la région et qui cherche à semer le chaos au service de certains agendas. Le Sahara est marocain, et la légitimité internationale parle de plus en plus fort de cette réalité, tandis que ceux qui restent dans le déni ne sont que l’écho d’un régime en crise qui craint la stabilité et la prospérité du Maroc.
