
ALDAR / Analyse
Le ciel des camps de Tindouf s’est transformé aujourd’hui en théâtre de tirs et d’explosions, annonçant une escalade sécuritaire sans précédent. Tandis que l’Algérie persiste à présenter ces camps comme de simples “refuges humanitaires”, la réalité dévoile un tableau bien plus sombre : des affrontements violents entre groupes armés utilisant des armes lourdes, sous le regard silencieux du Front Polisario et de ses protecteurs du palais d’El Mouradia.
Quelle stratégie l’Algérie prépare-t-elle pour la région ? Cette question devient de plus en plus pressante alors que le chaos s’intensifie et que les réseaux de contrebande et de criminalité organisée prospèrent au sein des camps. Comment peut-on envisager une solution politique sérieuse en intégrant des mercenaires sanguinaires qui font du trafic d’êtres humains et d’armes sous le couvert d’un prétendu “combat légitime” ?
La situation actuelle à Tindouf ne menace pas seulement les habitants des camps, mais constitue également un danger réel pour toute la sécurité régionale. Chaque jour de retard de la communauté internationale dans la prise de mesures équivaut à un acte de complicité avec le projet de chaos et de terrorisme que soutiennent les généraux algériens.
L’image qui émane de Tindouf est limpide :
•Des bandes armées s’affrontent pour le contrôle à coup d’armes lourdes.
•Les routes de la contrebande sont disputées dans un climat de violence extrême.
•Les civils sont pris en otage entre les feux croisés de la trahison et du chantage.
•Un silence complice entoure les agissements du Polisario et de ses parrains algériens.
Aujourd’hui, le mythe de la “représentation des Sahraouis” s’effondre avec fracas, révélant des camps transformés en marché de la criminalité et en épicentre du chaos et du terrorisme en Afrique du Nord.