Analyse / ALDAR
Le Maroc poursuit son ascension remarquable sur la scène africaine, marquant une nouvelle victoire en obtenant l’accueil du siège de l’Association des Clubs Africains (ACA). Cette réalisation a été obtenue au détriment du dossier algérien, qui a manqué de solidité et d’organisation nécessaires pour convaincre.
Le dossier marocain, largement salué pour sa rigueur organisationnelle et ses arguments solides, confirme une fois de plus que la diplomatie marocaine progresse avec assurance à tous les niveaux, qu’ils soient sportifs ou politiques. À l’opposé, le régime algérien se retrouve, comme à l’accoutumée, mis à l’écart après avoir échoué à présenter un dossier capable de rivaliser réellement.
Ce qui est à la fois ironique et regrettable, c’est que l’Algérie n’a même pas réussi à convaincre son allié traditionnel, l’Afrique du Sud, de soutenir ou de présenter un dossier concurrent, ce qui reflète son isolement croissant sur la scène continentale. Ces tentatives désespérées du régime algérien pour affirmer sa présence se soldent toujours par des échecs, tandis que le Maroc continue d’accumuler les succès et de renforcer sa position en tant que véritable puissance régionale.
Cette nouvelle victoire démontre que le Maroc ne se contente pas d’être un simple acteur sur la scène africaine, mais qu’il joue un rôle clé, réalisant des accomplissements majeurs, tandis que le régime algérien reste enlisé dans la collecte de dossiers et la diffusion de slogans qui ne tiennent pas face à la réalité.
Encore une fois, le Maroc se distingue par son leadership, s’appuyant sur une stratégie fondée sur l’efficacité, la transparence et le travail acharné, tandis que d’autres ne peuvent qu’observer ses réalisations à distance.