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Washington surveille-t-elle les mouvements de Tebboune lors du sommet de l’Union africaine? Tentatives d’achat d’alliances de pays africains avec l’argent des Algériens

ALDAR/

Alors que le sommet de l’Union africaine se tient à Addis-Abeba, des questions se posent sur une éventuelle surveillance des États-Unis à l’égard des manœuvres du président algérien Abdelmadjid Tebboune pour gagner en influence au sein de l’organisation continentale. Après l’échec de l’Algérie à obtenir un siège au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, la direction algérienne semble avoir de nouveau recours à des méthodes traditionnelles, consistant à acheter des loyautés et à séduire certains pays par des incitations financières provenant des fonds publics algériens.

Cette approche suscite des débats sur son efficacité dans le monde d’aujourd’hui, où les équilibres politiques reposent de plus en plus sur des bases stratégiques et économiques claires, plutôt que sur une influence financière temporaire. Les grandes puissances, notamment Washington, fermeront-elles les yeux sur ces pratiques, ou les mutations géopolitiques rendront-elles difficile la poursuite de telles méthodes sans être remises en question ?

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