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La presse italienne met en lumière la décision récente de la République du Panama de suspendre ses relations diplomatiques avec la soi-disant “République arabe sahraouie démocratique” (RASD).
Cette décision marque un tournant dans la position de certains pays vis-à-vis de la question du Sahara occidental, un conflit qui divise la communauté internationale depuis des décennies.
Selon les informations relayées par les médias italiens, le ministère des Affaires étrangères panaméen a annoncé cette décision en affirmant son engagement envers les principes du droit international et les efforts de l’ONU pour parvenir à une solution politique, durable et mutuellement acceptable au différend concernant le Sahara. Panama rejoint ainsi un groupe croissant de pays qui révisent leur position sur la reconnaissance de la “RASD”, considérée par certains comme une entité non souveraine et dépendante du soutien algérien.
Les observateurs notent que cette décision pourrait renforcer la position marocaine, qui propose un plan d’autonomie pour le Sahara sous sa souveraineté, tout en affaiblissant davantage la légitimité internationale de la “RASD”. Ce développement intervient dans un contexte où de nombreux pays réévaluent leurs relations diplomatiques et leur position sur ce dossier complexe, dans l’espoir de contribuer à une résolution pacifique du conflit qui dure depuis plusieurs décennies.