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Le régime algérien propage des mensonges… La vérité : 100 % des besoins du Maroc en gaz proviennent des États-Unis, de la Norvège, du Nigeria et de l’Arabie saoudite

Le régime algérien propage des mensonges… La vérité : 100 % des besoins du Maroc en gaz proviennent des États-Unis, de la Norvège, du Nigeria et de l’Arabie saoudite

 

 

Par Iman Alaoui /

Les campagnes de désinformation dirigées contre le Maroc semblent ne plus connaître de limites. Chaque jour, les réseaux sociaux et certains médias algériens relaient de nouvelles allégations, la plus récente prétendant que le Maroc importerait son gaz domestique d’Algérie. Or, les faits économiques contredisent formellement ces affirmations.

Les données officielles démontrent clairement que le Maroc n’importe pas une seule bouteille de gaz butane d’Algérie. En réalité, 80 % de ses besoins sont couverts par les États-Unis, tandis que le reste provient du Nigeria, de la Norvège et de l’Arabie saoudite. Ces fournisseurs, fiables et stables, garantissent l’approvisionnement du marché marocain dans le cadre d’une stratégie nationale fondée sur la diversification des partenaires et la sécurité énergétique.

Ces mensonges récurrents soulèvent une question plus profonde : pourquoi certains médias algériens persistent-ils à diffuser des informations erronées sur le Maroc ? La réponse réside probablement dans une logique de propagande dépassée, visant à détourner l’attention des problèmes internes plutôt qu’à les affronter avec transparence et réalisme.

Le succès du Maroc dans la diversification de ses ressources énergétiques – qu’il s’agisse d’importations lointaines ou de projets structurants dans le gaz naturel liquéfié et les énergies renouvelables – suscite visiblement un certain malaise chez ses rivaux régionaux. Le Royaume avance avec constance vers une forme d’indépendance énergétique, tout en renforçant la coopération africaine, notamment avec le Nigeria à travers le projet de gazoduc transafricain, appelé à transformer le paysage énergétique du continent.

Cette obstination à propager le mensonge ne nuit plus au Maroc ; elle révèle plutôt une crise de crédibilité et de confiance au sein du discours officiel et médiatique algérien. Les Marocains, de plus en plus conscients de ces manipulations, choisissent de répondre par les faits et les chiffres plutôt que par les slogans ou les émotions.

La vérité, elle, ne se discute pas : le Maroc n’importe pas de gaz d’Algérie, et aucune rumeur ne pourra altérer cette réalité. Les nations se mesurent à leurs actes, non à leurs discours. Le Maroc a opté pour la voie du travail, de la stabilité et du progrès concret, tandis que d’autres préfèrent se perdre dans le vacarme et l’illusion.

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