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Le Maroc et le pari de l’avenir : construire le développement et la sagesse politique face à l’isolement de l’Algérie

ALDAR/ Meryem Hafiani

Les relations entre le Maroc et l’Algérie connaissent une nouvelle montée de tensions, reflétant des crises profondes au sein du régime algérien, qui manque aujourd’hui de toute vision stratégique susceptible de l’aider à dépasser ses crises internes.

En effet, l’Algérie officielle s’appuie désormais sur l’hostilité envers le Maroc comme unique moyen de rester présente sur la scène politique, ce qui traduit un véritable vide politique que le régime tente de compenser en créant un ennemi extérieur justifiant ses politiques d’isolement et de fermeture qu’il a choisies.

À l’inverse, le Maroc avance résolument vers l’avenir, définissant son parcours national par une vision claire du développement et une politique étrangère équilibrée qui ne nourrit pas les conflits, mais établit de véritables partenariats de coopération avec son environnement régional et international.

Le Maroc ne souffre d’aucun complexe d’hostilité ni d’un besoin d’affirmer son existence par une opposition à son voisin ; il met plutôt l’accent sur la construction d’un État moderne, investissant dans l’humain, les infrastructures et ouvrant ses portes au dialogue et à la coopération.

Grâce à cette approche, le Maroc a su consolider sa position comme une puissance économique et politique en Afrique du Nord, refusant que son identité soit définie par l’hostilité ou les conflits, mais plutôt par des réalisations et un développement durable au service des intérêts et de la sécurité de son peuple.

Quant à l’Algérie, lorsqu’elle choisit l’isolement et impose ses conditions à une fermeture permanente, elle perd l’opportunité d’une coopération maghrébine qui pourrait renforcer la stabilité et le développement dans la région. Sa persistance dans cette voie signifie la fermeture des portes à son propre progrès et l’alimentation des crises politiques et sociales internes qu’elle traverse.

L’histoire nous enseigne que les États qui s’accrochent à l’hostilité comme levier de leur survie sont condamnés à l’échec et à rester enfermés dans des cercles de crise. Le Maroc, par sa bonne gouvernance et son orientation vers le développement, démontre qu’il est capable de conduire la région vers un avenir plus lumineux, tandis que l’Algérie reste prisonnière d’un isolement sans horizon.

Le choix reste clair : soit l’Algérie renonce à la logique de l’hostilité et suit l’exemple du Maroc dans la construction de grands projets et une ouverture positive, soit elle demeure enfermée dans un isolement stérile, nuisible à ses intérêts nationaux et à sa sécurité régionale. Le Maroc a choisi la voie de la construction et demeure aujourd’hui un modèle de stabilité et de développement en Afrique du Nord.

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