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L’Algérie échange le gaz contre des positions politiques… et vend des illusions à l’étranger

L’Algérie échange le gaz contre des positions politiques… et vend des illusions à l’étranger

ALDAR / Analyse

Une fois de plus, le régime algérien démontre que sa diplomatie ne s’écarte jamais de la logique des marchandages et des transactions à bas prix. Lors de sa récente visite en Slovénie, le président Abdelmadjid Tebboune est apparu comme un simple agent commercial de la compagnie Sonatrach, proposant du gaz à des prix préférentiels dans une tentative désespérée de gagner des positions européennes sur la question du Sahara marocain.

Le discours tenu par Tebboune n’avait rien de celui d’un chef d’État souverain ; il s’apparentait davantage à une publicité creuse, dénuée de principes, visant à acheter un soutien étranger pour une cause perdue. Malgré l’effort évident de dissimuler ce troc sous des slogans creux sur le “droit à l’autodétermination”, aucune mention n’a été faite de la soi-disant “République sahraouie”, ni même des formules habituelles du régime algérien sur le “peuple sahraoui”.

Ce recul dans le ton du discours révèle l’ampleur de la confusion politique qui règne au sein du régime algérien, après une série d’échecs sur la scène internationale et face au soutien croissant de la communauté internationale à la proposition marocaine d’autonomie, considérée comme une solution réaliste et crédible.

Pendant que l’argent public est dilapidé dans des accords douteux ne servant que des agendas isolés, la position sur la question du Sahara reste ferme, résolument marocaine, enracinée dans la légitimité historique et un appui international grandissant. Quant au régime algérien, il continue de gaspiller les richesses de son pays dans des paris perdants, mû davantage par une obsession de l’hostilité envers le Maroc que par le souci des intérêts de son peuple.

C’est une diplomatie du gaz contre des illusions… où les ressources d’un État tout entier sont mises au service d’un projet séparatiste à l’agonie.

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