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La salle de la Commission des affaires étrangères du Parlement français a été le théâtre d’un vif débat après l’apparition d’une nouvelle carte du monde, montrant les provinces du sud du Royaume du Maroc comme une partie intégrante de son territoire national.
Ce changement a suscité des réactions indignées de la part des partisans du projet séparatiste et du Front « Polisario », ainsi que des cercles proches du régime algérien, qui ont considéré cela comme un coup porté à leurs positions traditionnelles.
Ces développements interviennent dans un contexte de transformations diplomatiques rapides concernant la question du Sahara marocain, où le Maroc a bénéficié ces dernières années d’un soutien croissant de la part de puissances internationales influentes, dont la France, avec laquelle le Royaume entretient des relations stratégiques de longue date.
Des observateurs estiment que l’apparition de cette carte au sein d’une institution législative française n’est pas un événement anodin, mais plutôt le reflet d’une évolution des positions de certains cercles officiels à Paris vis-à-vis du dossier, notamment à la lumière des changements régionaux et internationaux qui ont renforcé la position de Rabat sur la scène diplomatique.
En revanche, les partisans du projet séparatiste n’ont pas tardé à réagir, exprimant leur mécontentement à travers divers canaux médiatiques, tentant ainsi de faire pression sur les autorités françaises pour qu’elles reviennent sur tout indice pouvant refléter un changement dans leur position officielle. Néanmoins, les faits sur le terrain montrent que la position marocaine continue de gagner en reconnaissance et en soutien international, consolidant ainsi sa place dans le paysage régional.