ALDAR/ Analyse
Dans une nouvelle illustration de son sens élevé des responsabilités et de son engagement constant au service de la nation, le roi Mohammed VI, malgré les conseils de ses médecins de se reposer, a procédé à la nomination de nouveaux responsables à la tête d’institutions constitutionnelles clés, plaçant ainsi l’intérêt du pays au-dessus de toute autre considération.
Ces nominations s’inscrivent dans le cadre du renforcement de la bonne gouvernance et de la mise en œuvre de la démocratie participative, car le bon fonctionnement des institutions constitutionnelles et l’assurance de leur efficacité constituent l’un des piliers fondamentaux de la stabilité de l’État et de la continuité des grandes réformes.
Ces nominations concernent des personnalités de haut niveau et hautement qualifiées, parmi lesquelles Abdelkader Amara, nommé président du Conseil économique, social et environnemental, Mohamed Benalilou à la tête de l’Instance de probité et de lutte contre la corruption, ainsi que Hassan Tarik, désigné Médiateur du Royaume.
Ces nominations reflètent une volonté royale ferme de consolider le processus des grandes réformes engagées par le Royaume et d’ancrer le principe de continuité des institutions, indépendamment des défis conjoncturels. Elles témoignent également de la conscience de Sa Majesté quant à l’importance de promouvoir une culture de bonne gouvernance et de transparence, dans le cadre d’une vision stratégique plaçant l’intérêt du pays et des citoyens au cœur des priorités.
Cette décision confirme une fois de plus que la voie de la réforme et de la modernisation poursuivie par le Maroc sous la conduite du roi Mohammed VI demeure inébranlable, et que l’activation des rôles constitutionnels des institutions constitue une composante essentielle de cette dynamique, garantissant ainsi la stabilité et renforçant l’État de droit et des institutions.
