Un plan de renseignement étranger derrière le sabotage, la violence et le chaos : comment les services algériens ont tenté de déstabiliser le Maroc
Un plan de renseignement étranger derrière le sabotage, la violence et le chaos : comment les services algériens ont tenté de déstabiliser le Maroc

Rabat / Iman Aloui
Les récentes évolutions dans plusieurs villes marocaines révèlent que la vague de manifestations de jeunes qui a secoué le pays n’est pas simplement spontanée. Elle fait partie d’un plan de renseignement complexe visant à déstabiliser le Royaume et à exploiter la colère des jeunes pour atteindre des objectifs étrangers.
Selon des sources, les services militaires algériens seraient les cerveaux derrière ces mouvements, en gérant des pages et des comptes sur les réseaux sociaux sous de faux noms marocains, afin d’inciter les jeunes à des actes de violence, de sabotage et de chaos.
Les données disponibles montrent que le plan ne se limite pas au domaine numérique. Il inclut également la création d’une base arrière en Tunisie, où un groupe de jeunes Marocains a été recruté moyennant des incitations financières, avec la mise à disposition d’appartements et de villas luxueuses en périphérie de la capitale tunisienne, pour coordonner les campagnes et actions dirigées contre le Maroc.
Selon ces mêmes informations, certains de ces jeunes ont été directement recrutés lors de leurs voyages en Tunisie, dans le cadre d’une stratégie méthodique pour les utiliser dans des actes de violence à l’intérieur du pays.
Les données indiquent également que parmi les participants aux manifestations se trouvent des infiltrés étrangers, notamment des Algériens et des éléments séparatistes du Polisario, ainsi que des individus avec des antécédents judiciaires intégrés dans des gangs organisés, opérant sous la supervision directe des services algériens.
Des caméras de surveillance dans plusieurs villes ont filmé le transport de ces individus par camions vers des zones ciblées pour y exécuter des actes de sabotage, de pillage et s’attaquer à des infrastructures vitales, révélant l’organisation et la précision de ces opérations.
Les enquêtes révèlent également que des ressortissants algériens détenteurs de nationalités européennes, notamment française, ont visité le Maroc avant le déclenchement des événements et recruté des traîtres contre rémunération pour cibler des grandes villes telles que Marrakech, Agadir et Oujda. Par ailleurs, des investigations sont en cours sur des plateformes numériques marocaines revendues à des proches des services algériens via des intermédiaires en France et en Tunisie, illustrant une coordination de renseignement à plusieurs niveaux pour orienter les mouvements au Maroc et attiser les manifestations.
Toutes ces informations confirment que ce que les médias appellent les « manifestations de la génération Z » ne reflète pas seulement une colère locale, mais fait partie d’un plan de renseignement étranger visant à déstabiliser le pays.
Les autorités marocaines poursuivent les enquêtes et traquent tous les acteurs impliqués, à l’intérieur comme à l’extérieur du Royaume, afin de garantir la sécurité nationale et la stabilité du pays, tout en soulignant l’importance de la vigilance nationale et de la prudence face aux tentatives d’exploitation de la jeunesse dans des agendas étrangers malveillants.