
ALDAR / Iman Alaoui
L’affaire “Jabaroot” connaît des développements rapides, après qu’il est devenu évident que ce système ou ce groupe a atteint un stade d’effondrement. Les signes actuels montrent que les choses ne peuvent plus continuer comme avant et que l’heure de vérité est proche.
Les analyses en circulation indiquent qu’il ne s’agit pas d’un simple dossier passager, mais bien d’un dévoilement profond d’une structure fondée sur les manœuvres et le contournement de la loi. “Jabaroot” ne s’est pas limité à la tentative de chantage, mais est allé plus loin en jouant avec la stabilité et en semant le doute et la suspicion dans l’opinion publique. Cela a fait que le danger dépasse ses limites habituelles pour devenir une menace pour la paix sociale et institutionnelle.
Les données disponibles révèlent qu’une enquête minutieuse et globale a déjà été lancée, et que les autorités compétentes cherchent à déterminer les responsabilités et à poursuivre tous ceux impliqués dans ces pratiques. Il est certain que ces investigations ne se contenteront pas des apparences, mais plongeront jusqu’aux racines, afin de mettre à jour tous les fils de cette affaire et de démanteler son réseau.
Le moment de la chute de figures en vue est proche, car ce qui s’est passé a franchi les lignes rouges. Les institutions ne permettront pas que la stabilité devienne un instrument de marchandage ou une otage de manœuvres politiques ou financières douteuses. Ainsi, ce que certains décrivent comme “la fin de Jabaroot” ne sera autre que le début d’une nouvelle étape, fondée sur la clarté et la rigueur, et peut-être une redéfinition des équilibres au sein du paysage qui a produit ces pratiques.
Le message que véhiculent ces évolutions est clair : la stabilité est une ligne rouge, et toute tentative d’y porter atteinte ne restera pas impunie. Et “Jabaroot”, avec toutes ses pratiques inacceptables, est désormais le symbole d’un modèle qui a épuisé toutes ses cartes. Reste à savoir : qui assumera pleinement la responsabilité devant l’opinion publique et la loi ?