Nasser Bourita… Un sourire qui dit tout : Nous avons gagné, quand les traits du visage parlent avant les mots
Nasser Bourita… Un sourire qui dit tout : Nous avons gagné, quand les traits du visage parlent avant les motsNasser Bourita… Un sourire qui dit tout : Nous avons gagné, quand les traits du visage parlent avant les mots

ALDAR / Analyse
Dans le monde de la politique et de la diplomatie, tout ne se dit pas avec des mots. Parfois, un simple regard ou un sourire suffit à transmettre un message clair, sans la moindre ambiguïté.
C’est exactement ce qui s’est produit récemment, lorsqu’un large sourire est apparu sur le visage du ministre des Affaires étrangères, le “lion diplomatique” Nasser Bourita, à l’issue d’une tournée diplomatique couronnée de succès. Un sourire qui n’a pas manqué de capter l’attention des observateurs et analystes, éveillant la curiosité sur les messages cachés et les significations profondes qu’il pouvait véhiculer.
Un sourire qui n’avait rien d’ordinaire : il s’agissait d’un véritable titre silencieux d’une victoire politique et diplomatique remportée en coulisses. Rien n’a été déclaré ouvertement, mais les expressions du visage, l’assurance du geste et la posture maîtrisée suffisaient à faire passer le message. En politique, les sourires sont souvent révélateurs d’alliances solides ou de succès discrets que les communiqués officiels n’explicitent pas toujours.
Cette “victoire” n’est peut-être pas le fruit d’un événement unique, mais plutôt le résultat d’un travail diplomatique patient, d’une stratégie fondée sur la discrétion, la sagesse et l’intelligence dans la gestion des tensions et la construction d’alliances. Elle peut refléter un changement de position internationale, la neutralisation d’un adversaire, ou encore le gain d’un soutien de taille pour une cause nationale jugée prioritaire par l’État.
Dans un contexte régional et international complexe, marqué par la montée des tensions et l’enchevêtrement des intérêts, les victoires ne se mesurent plus uniquement au nombre de déclarations ou à la signature de traités. Elles se mesurent aussi à la capacité d’influence, au pouvoir de redéfinir les équilibres, calmement et efficacement, sans bruit. C’est dans cette logique que s’inscrit ce sourire, qui pourrait bien résumer tout un chapitre de lutte diplomatique marocaine et incarner, en un instant, une forme de triomphe non déclaré.
Ainsi, “Un sourire qui dit : nous avons gagné” n’est pas qu’une formule poétique ou une expression passagère. C’est un symbole fort de confiance en la voie choisie, et le signe d’une diplomatie mûre, qui sait désormais mener ses batailles… d’un simple demi-sourire.