
ALDAR/ Sara Loukili
Dans un contexte de crises régionales accélérées, ce sont les institutions des véritables États qui se révèlent à travers leur capacité à protéger leurs ressortissants et à réagir rapidement à leur situation, où qu’ils se trouvent. C’est dans ce cadre que la déclaration du journaliste marocain de la chaîne qatarie Al Jazeera, Mohamed Bekkali, au site Sawt Al Maghrib, apparaît comme un témoignage professionnel sincère révélant une facette rarement exposée du travail de terrain discret mais efficace mené par le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.
Depuis son expérience vécue, et non depuis un plateau télé, Bekkali a affirmé :
« Ce qu’a fait le ministère marocain des Affaires étrangères et la mission diplomatique, aucun autre pays ne l’a fait pour ses ressortissants. »
Cette phrase n’est pas qu’un simple compliment : elle constitue un témoignage direct de l’excellence de la diplomatie marocaine dans l’accomplissement de ses devoirs en période de crise sécuritaire.
Le Maroc, par l’intermédiaire de son ministère des Affaires étrangères, n’a pas seulement suivi la situation à distance. Il a agi sur le terrain avec une coordination étroite entre les services centraux et l’ambassade, afin de garantir la sécurité d’un de ses citoyens et de l’accompagner dans les moindres détails. Pendant ce temps, d’autres nationalités se retrouvaient livrées à elles-mêmes, sans véritable soutien ni orientation concrète.
Un tel témoignage documenté a évidemment dérangé certaines voix habituées à s’aligner contre tout ce qui représente l’État. Certains se sont empressés de semer le doute, uniquement parce que la vérité contredit leurs discours tout faits et met à nu l’inconsistance de leurs récits, qui tentent systématiquement de convaincre l’opinion publique de l’absence ou de l’indifférence de l’État. Le témoignage de Bekkali est venu déconstruire symboliquement toutes ces narrations usées.
Quiconque analyse ce témoignage avec un œil professionnel comprendra qu’il est le fruit d’une vision stratégique claire : celle d’un Maroc qui place le citoyen – à l’intérieur comme à l’extérieur du pays – au centre de ses politiques publiques et diplomatiques. Cette orientation se reflète dans les réformes entreprises par le ministère des Affaires étrangères ces dernières années : amélioration des mécanismes de réponse, renforcement de la présence consulaire, et ouverture de canaux de communication permanents avec les Marocains du monde.
Le Maroc d’aujourd’hui n’est plus ce pays accusé de négliger ses ressortissants. Il est devenu un exemple de réactivité, d’engagement et d’efficacité. Les propos de Bekkali sont une preuve vivante de cette profonde transformation que mène la diplomatie marocaine moderne, dans le cadre d’orientations royales claires qui placent le citoyen au sommet des priorités.
Les voix sceptiques, aussi bruyantes soient-elles, ne peuvent effacer la réalité. Et l’image dessinée par le témoignage de Bekkali est une victoire de la vérité, le reflet d’un pays qui ne transige pas sur la sécurité de ses enfants et qui ne reste jamais passif lorsque leur stabilité est menacée, où qu’ils soient.
Que la diplomatie marocaine poursuive son œuvre avec détermination, et que ce témoignage soit consigné non pas comme une simple opinion journalistique, mais comme un document à inscrire dans les annales de la crédibilité institutionnelle que le Maroc a bâtie, grâce aux efforts de ses fils et filles, à l’intérieur comme à l’extérieur du royaume.