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Face à une vague de rumeurs qui l’ont récemment visé sur les réseaux sociaux, Mustapha Ramid, ancien ministre d’État chargé des Droits de l’Homme et de la Justice, est sorti de son silence à travers une publication sur sa page officielle, dans laquelle il a fermement réfuté les accusations portées contre lui.
Ramid a affirmé que son nom avait de nouveau été utilisé comme combustible dans des campagnes malveillantes menées, selon ses termes, par des « mercenaires de la communication numérique », qui ne cessent d’inventer et de propager des mensonges dans le but de semer la confusion et de nuire à sa réputation. Il a ajouté que ces pratiques reposaient sur la déformation de certains faits et l’ajout d’éléments fictifs, ce qui leur ôte toute crédibilité et tout professionnalisme.
L’ancien responsable gouvernemental a insisté sur le fait qu’un journalisme sérieux ne saurait exister sans une vérification rigoureuse des informations auprès de sources fiables, mettant en garde contre le risque de devenir des relais involontaires de fausses nouvelles. Il a également souligné que certains acteurs médiatiques manquent de probité, s’engageant dans des campagnes de diffamation motivées par des intentions étrangères à l’esprit du droit à l’information ou de la critique constructive.
Avec un ton ferme, Ramid a rejeté toute implication dans des polémiques stériles avec les auteurs de ces allégations, estimant qu’ils ne méritent ni d’être nommés ni qu’on leur accorde une quelconque importance. Il a préféré ignorer ce qu’il a qualifié de « délires médiatiques », n’ayant pour seul objectif que de semer le trouble au service d’agendas douteux.