Nasser Bourita frappe fort : la diplomatie de la vérité déstabilise les militaires algériens et fait tomber les masques

ALDAR / Analyse
Dans un rare moment de vérité sur la scène diplomatique arabe, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a prononcé un discours qualifié de ferme et clair, ébranlant les fondements de régimes habitués à utiliser la cause palestinienne comme un levier politique et un outil de propagande pour justifier leurs échecs internes et régler leurs comptes régionaux. Le discours de Bourita, empreint du courage de la vérité et de la sérénité de celui qui est sûr de sa position, n’a pas manqué de produire des secousses. La première a été ressentie du côté du régime militaire algérien, visiblement déstabilisé par la révélation de ses mensonges persistants. La seconde est venue de la “cinquième colonne” à l’intérieur même du Maroc, dont les cris ont fait écho aux discours des porte-voix du régime algérien.
Dans sa déclaration, Nasser Bourita a réaffirmé que le soutien du Maroc à la cause palestinienne est constant et inébranlable, tout en refusant que ce soutien serve de prétexte pour attaquer le Royaume ou pour dissimuler des agendas hostiles derrière des slogans creux. Ce message fort ne s’adressait pas seulement aux ennemis du Maroc, mais à tous ceux – à l’intérieur comme à l’extérieur – qui tentent de manipuler les sentiments religieux et nationalistes afin de brouiller les positions souveraines du Royaume.
Le régime algérien, qui n’a jamais hésité à fabriquer des crises et à propager des mensonges, se retrouve aujourd’hui mis à nu devant une opinion publique de plus en plus éveillée, découvrant comment la cause palestinienne est utilisée comme carte de pression diplomatique plutôt que maintenue dans son essence de cause de lutte légitime. L’Algérie, qui a choisi l’isolement diplomatique et l’alimentation d’une hostilité continue envers son voisin de l’Ouest, prouve encore une fois qu’elle ne supporte pas la voix de la raison et de la vérité – surtout lorsqu’elle émane d’un responsable marocain du calibre de Bourita, qui a su repositionner la diplomatie marocaine ces dernières années en une force calme mais décisive.
À l’intérieur du pays, la “cinquième colonne” n’a pas tardé à afficher son allégeance au discours de la déviation et du doute, accusant l’État d’un prétendu abandon qui n’existe que dans leur imagination. Ce sont les mêmes qui restent silencieux lorsqu’il s’agit de dénoncer les violations contre les Palestiniens dans des régions ignorées par les médias occidentaux ou les propagandes iranienne et algérienne.
Le Maroc, fidèle soutien de la Palestine depuis des décennies, notamment à travers la présidence du Comité Al-Qods assurée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, n’a nul besoin de faux certificats ni de surenchères politiques de la part de régimes ou de groupes qui n’ont rien offert à la Palestine si ce n’est des discours pompeux et des slogans creux. Les positions sincères ne se mesurent pas à l’intensité du discours, mais à la véracité de l’action et à la profondeur de l’engagement. C’est là que réside la différence entre ceux qui soutiennent réellement la Palestine, et ceux qui s’en servent dès que leurs propres crises s’aggravent.
Il est temps de dénoncer ce commerce abject et de faire taire ceux qui tentent de discréditer les positions nationales à coups de slogans usés. Et voici Nasser Bourita, en homme d’État et non de spectacle, montrant que la diplomatie n’est pas seulement un moyen de communication, mais une arme de vérité face à ceux qui ont fait du mensonge et de la manipulation leur méthode.