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Les enjeux du Grand Maghreb et de l’Afrique : Le Maroc entre construction et progrès… et l’Algérie prisonnière de politiques hostiles et stériles

Les enjeux du Grand Maghreb et de l’Afrique : Le Maroc entre construction et progrès… et l’Algérie prisonnière de politiques hostiles et stériles

 

ALDAR/

Dans le contexte des transformations régionales et internationales, le Maroc se distingue comme un modèle réussi dans la région maghrébine et en Afrique, grâce à sa vision de développement ambitieuse et à sa diplomatie efficace, qui l’ont positionné comme un acteur clé sur la scène africaine et internationale.

En revanche, l’Algérie adopte une politique hostile envers le Maroc, visant non seulement à entraver ses réussites, mais ignorant également les défis réels auxquels la région est confrontée, tels que la crise libyenne, qui exige une position responsable et une coopération régionale sincère.

Grâce à sa direction éclairée et à une stratégie bien pensée, le Maroc a accompli des avancées remarquables dans divers domaines. En réintégrant avec force l’Union africaine, il a consolidé sa position en tant que partenaire fiable pour promouvoir le développement économique et social du continent. De plus, son succès dans l’attraction des investissements étrangers et la réalisation de projets d’envergure, comme le port Tanger Med ou les lignes de transport énergétique vers l’Europe, a fait de lui un centre économique dynamique. À cela s’ajoute son rôle actif dans le soutien à la stabilité régionale, à travers des initiatives de médiation et des solutions pacifiques aux conflits, ce qui lui a valu un large respect sur la scène internationale.

À l’opposé, le régime algérien persiste à orienter ses ressources et ses capacités vers l’opposition au Maroc, au lieu de se concentrer sur la résolution de ses crises internes ou de contribuer à la gestion des questions régionales. Par son soutien continu au Front Polisario, dont la crédibilité a diminué au niveau international, l’Algérie entrave les efforts du Maroc pour renforcer son intégrité territoriale et investir ses ressources dans le développement. Ces politiques ne font qu’attiser les divisions régionales et prolonger des conflits artificiels, alors même que la région a besoin de complémentarité et de coopération pour progresser.

Ce qui accentue davantage les contradictions dans la position algérienne, c’est son ignorance des grandes problématiques menaçant la stabilité de la région, notamment la crise libyenne. Malgré sa position géographique stratégique et son poids politique, l’Algérie n’a proposé aucune initiative sérieuse pour résoudre le conflit en Libye, se contentant de positions fades qui ne dépassent pas les déclarations diplomatiques. Cette indifférence révèle ses priorités réelles, centrées sur l’opposition au Maroc plutôt que sur la réalisation de la stabilité régionale ou sur l’aide aux peuples maghrébins pour surmonter leurs épreuves.

Le Maroc, quant à lui, reste fidèle à sa trajectoire, poursuivant ses acquis et renforçant son rôle en tant que puissance régionale responsable. Malgré les tentatives répétées de l’Algérie pour entraver ses réussites, le Maroc prouve, encore et encore, que la construction et le développement sont la seule voie vers le progrès. Alors qu’il se concentre sur l’avenir et renforce ses partenariats régionaux et internationaux, l’Algérie reste prisonnière de politiques hostiles et stériles, qui ne font qu’aggraver ses crises internes et son recul régional.

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