Le Royaume du Maroc est sur le point de se voir confier, par la Confédération africaine de football (CAF), la responsabilité d’organiser en 2025 la 35e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), rapporte jeudi le journal angolais Ecos Do Henda.
«Le Maroc dispose d’infrastructures sportives de haut niveau, qui n’ont pas leur pareil même dans de grands pays», écrit le journal dans un article illustré de photos de stades marocains. Par conséquent, soutient-il, «le Royaume se présente avec le potentiel d’accueillir la CAN 2025, n’excluant pas d’organiser également, dans un avenir proche, la Coupe du monde de football de la FIFA».
Il ajoute que la quatrième place décrochée par les Lions de l’Atlas à la Coupe du monde de Qatar démontre le grand engagement du Royaume à développer encore davantage le domaine du sport.
Ecos Do Henda fait constater, à ce propos, qu’il existe au Maroc plus de 200 terrains en herbe dont certains, comme Rabat, Casablanca, Marrakech, Agadir, Fès et Tanger, sont capables d’accueillir des compétitions internationales.
C’est d’ailleurs pour découvrir les atouts indéniables d’une infrastructure sportive de très haut niveau, notamment du football, qu’une délégation composée d’une centaine de journalistes de plus de 30 pays africains ont été invités dans le Royaume par la Fédération royale marocaine de football (FRMF), souligne encore le média.
Et d’ajouter que «des journalistes de divers pays africains, dont l’Angola, se sont déjà rendus dans différentes régions du Royaume pour s’enquérir de visu des performances et de l’intelligence de l’homme marocain, combinées aux nouvelles technologies, dans la transformation de l’environnement au profit du bien-être de la population de ce grand pays du Maghreb».
Le média angolais conclut que c’est l’engagement pour une formation de qualité qui a fait, qu’aujourd’hui, le Maroc est autosuffisant en termes de personnel capable de tirer parti et d’exceller non seulement dans le sport, comme le football, mais aussi dans d’autres domaines comme la santé, l’agriculture, le commerce, les transports, la pêche, pour n’en citer que quelques-uns.
ALdar : LA MAP