La nomination de Mike Waltz comme nouvel ambassadeur américain à l’ONU… Une voix favorable au Maroc dans les cercles diplomatiques internationaux
La nomination de Mike Waltz comme nouvel ambassadeur américain à l’ONU… Une voix favorable au Maroc dans les cercles diplomatiques internationaux

ALDAR/
Le président américain Donald Trump a annoncé la nomination du député républicain Mike Waltz en tant que nouvel ambassadeur des États-Unis auprès de l’Organisation des Nations Unies. Une décision qui a suscité l’intérêt des milieux politiques en raison du parcours de Waltz et de ses positions fermes en faveur de plusieurs pays alliés, au premier rang desquels figure le Royaume du Maroc.
Mike Waltz, ancien membre du Congrès américain représentant l’État de Floride, est connu pour ses prises de position claires et son soutien constant aux intérêts marocains au sein des cercles décisionnels de Washington. Il avait d’ailleurs rencontré le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, lors d’une entrevue officielle au cours de laquelle il a exprimé son estime pour le Maroc, considéré comme un allié stratégique des États-Unis en Afrique du Nord, notamment dans les domaines de la sécurité régionale, de la lutte contre le terrorisme et de la coopération économique.
La nomination de Waltz pourrait marquer un tournant dans la position américaine au sein de l’ONU à l’égard de plusieurs dossiers concernant le Maroc, en particulier dans le contexte des défis régionaux et internationaux actuels. Le dossier du Sahara marocain demeure au centre de ces enjeux, et il est fort probable que le nouvel ambassadeur appuie la position de Rabat dans les enceintes onusiennes.
Cette désignation est perçue comme un message politique fort, témoignant de la continuité de l’approche républicaine en matière de renforcement du partenariat avec le Maroc. Mike Waltz appartient en effet à la mouvance politique qui a joué un rôle central dans la reconnaissance, par l’administration Trump, de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud lors de son premier mandat.
Bien que cette nomination ne soit pas encore officiellement entérinée au sein des institutions onusiennes, elle devrait renforcer davantage l’entente stratégique entre Rabat et Washington et ouvrir la voie à une coopération plus approfondie sur les dossiers d’intérêt commun, qu’ils soient sécuritaires, économiques ou politiques.