Le dernier délai pour soumettre les candidatures pour la 4ème édition du Prix de la presse parlementaire au titre de l’année 2024, a été fixé pour le 31 mai, a annoncé la Chambre des représentants.
Les Prix décernés sont le Prix du mérite, attribué à un(e) journaliste assurant le suivi de la question parlementaire, le Prix de la presse écrite, le Prix de la presse électronique, le Prix de l’audiovisuel et le Prix de la photographie, précise la Chambre des représentants dans un communiqué de rappel.
Les établissements médiatiques nationaux (chaînes de télévision, radios, agence, journaux et sites électroniques) peuvent participer à toutes les catégories susmentionnées.
Le Prix est ouvert aux candidats(es) de nationalité marocaine, en possession de la carte de presse au titre de l’année 2024, ayant présenté leurs candidatures à titre individuel ou collectif dans le cadre d’une équipe de travail.
Les travaux doivent être soumis dans leur format initial tel que diffusé dans l’un des médias nationaux et doivent avoir été publiés entre le 01/01/2023 et le 31/12/2023.
S’agissant de la presse électronique, les travaux en lice devront être conservés sur le site d’information ils ont été publiés et ce, jusqu’à l’annonce des lauréats.
Les oeuvres candidates sont à déposer en cinq exemplaires auprès du bureau d’ordre du siège de la Chambre des Représentants, sis Avenue Mohammed V, Rabat, joints au formulaire de candidature disponibles sur le site internet www.chambredesrepresentants.ma ou envoyés par e-mail à l’adresse [email protected].
Pour plus d’informations, le secrétariat du comité d’organisation du Prix est joignable aux numéros suivants : 05.37.67.96.50 – 05.37.67.96.90 ou via l’adresse e-mail précitée.
Organisé annuellement conformément au règlement intérieur de la Chambre, le Prix vise à encourager et à rendre hommage aux talents médiatiques nationaux, en reconnaissance de leurs efforts individuels et collectifs pour la promotion de l’action parlementaire, le renforcement de la participation politique et la consolidation de l’État des institutions.
Source : MAP