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Le département d’État américain embarrasse les caberans et les interroge sur leur rôle dans le conflit du désert artificiel

Aldar/Analyse

La visite du secrétaire d’État adjoint américain Joshua Harris en Algérie il y a deux jours pour entamer une série de consultations avec l’Algérie et le Maroc sur la promotion de la paix régionale est une confirmation concrète par les États-Unis et la communauté internationale de la responsabilité directe du régime de Cabaran dans la fabrication du différend artificiel sur le Sahara marocain, et pour exclure toute légitimité du soi-disant front séparatiste. Le département d’État américain a délibéré avec grand intérêt sur ces consultations et la réunion entre le responsable américain et le ministre algérien des Affaires étrangères Ahmed Ataf sans aucune référence à la république de l’illusion, qui représente un message clair pour les Caberns qui sont plus exigeants aujourd’hui que jamais d’accepter la question factuelle et historique qui confirme que le désert dans son Maghreb et le Maroc sont dans son désert.

Il est clair que le fonctionnaire américain qui est venu en Algérie dans une circonstance politique particulière vécue par la région et le dossier du Sahara marocain a été clair en présentant la position de son pays qui est basée sur la souveraineté marocaine, appelant à surmonter toutes les justifications de division et de dispersion et s’engageant dans la dynamique de la solution politique sous la souveraineté du Maroc en permettant aux résidents des provinces du sud de gérer leurs propres affaires dans le cadre du projet d’autonomie. Washington a affirmé à plusieurs reprises son soutien à l’initiative de négociation présentée par le Maroc depuis 2007 et l’a considérée comme une initiative très fiable et crédible. Les États-Unis sont pleinement conscients que l’Algérie est directement responsable de la poursuite de ce conflit artificiel et constitue donc le principal destinataire auquel toutes les initiatives diplomatiques devraient être adressées.

De multiples sources médiatiques confirment que la partie américaine a appelé les choses par leur nom et a évité le langage du bois en parlant aux Algériens, parce que les allégations et allégations supranationales faites par l’Algérie sur son soutien à l’autodétermination, aux droits des peuples et à d’autres doux discours diplomatiques ne convainquent plus personne. L’administration Biden est bien consciente que le régime Cabratic n’emploie que politiquement la question du Sahara marocain, et que les fins expansionnistes sous-jacentes à ce recrutement ne lui ont pas été cachées depuis qu’il a fabriqué ce conflit il y a plus de 40 ans. Peut-être que soulever ce sujet exactement pour l’instant est également étroitement lié aux récents développements en matière de sécurité dans la région après que certains éléments séparatistes ont ciblé des civils dans la ville de Smara.

Derrière la visite de Joshua Harris se cachent de solides leçons américaines en termes d’éviter l’escalade, de ne pas s’aventurer à jeter du pétrole sur le feu et de pousser une région qui a bénéficié de nombreuses stabilités fragiles pendant de nombreuses années dans les puits indispensables des conflits et des guerres. Les États-Unis d’Amérique, qui sont actuellement préoccupés par la confrontation ouverte qui se déroule au Moyen-Orient entre Israël et le Hamas à Gaza, n’ont pas non plus besoin d’ouvrir d’autres fronts dans la région, surtout si l’odeur de l’interférence iranienne a été exposée récemment. Le Front Polisario est connu pour avoir ouvert des canaux de communication avec les Iraniens et a peut-être acquis des drones iraniens pour les utiliser contre le Maroc. Washington est très préoccupé par l’expansion de l’Iran dans la région de l’Afrique du Nord et de l’Ouest, de sorte que le discours qu’il adresse aujourd’hui au régime algérien sera très strict à cet égard.

Mais la chose la plus importante que l’on puisse voir lors de la visite de Joshua Harris en Algérie est qu’il se concentre sur la responsabilité et le rôle direct de l’Algérie dans ce conflit et sur la nécessité de sa participation à la recherche de la solution appropriée. Le discours diplomatique dépassé sur le peuple sahraoui et les droits à l’autodétermination n’est plus pertinent après que le tableau d’aujourd’hui est devenu clair pour tous. Nous parlons d’un conflit complètement fabriqué créé par les généraux algériens et qui lui a fourni les conditions de continuité et de continuité politique, financière et logistique, et Washington est pleinement conscient qu’il s’agit d’un conflit hérité de l’ère de la guerre froide et qui aurait dû se terminer à une étape historique précédente.

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