Un cycle de films dédié aux communautés aborigènes d’Australie se tient depuis le 14 octobre et jusqu’au 13 janvier prochain à l’auditorium du Musée Yves Saint Laurent à Marrakech et ce, à l’initiative de la Fondation Jardin Majorelle.
Organisé en collaboration avec la Fondation Opale, ce cycle comprend pas moins de 11 films australiens produits entre 1971 et 2021 et réalisés par des cinéastes australiens de renom, tels que Rolf de Heer, Peter Djigir, Molly Reynolds, Nicolas Roeg, Stephen Maxwell Johnson, Werner Herzog, Catriona McKenzie, Warwick Thornton, Phillip Noyce et Ivan Sen, indique un communiqué de la Fondation Majorelle.
Il s’agit des films “Ten Canoes” [10 canoës, 150 lances et 3 épouses], qui a été projeté le 14 octobre, “Another Country” (prévu le 21 octobre), “Charlie’s Country” (28 octobre), “My name is Gulpilil” (04 novembre prochain), “Walkabout” [La randonnée] (11 novembre), “Yolngu Boy” (09 décembre prochain), “Where the Green Ants Dream” [Le pays où rêvent les fourmis vertes] (16 décembre), “Satellite Boy” (30 décembre prochain), “Sweet Country” (13 janvier prochain), “Rabbit-Proof Fence” [Le chemin de la liberté] (20 janvier) et “Beneath Clouds” [Sous les nuages] (27 janvier).
Ces films seront projetés chaque samedi au sein de l’auditorium du Musée Yves Saint Laurent, en langue anglaise avec un sous-titrage en français.
A rappeler que le Musée Yves Saint Laurent Marrakech abrite jusqu’au 28 janvier prochain, deux expositions sous le thème “Serpent, Art aborigène d’Australie” illustrant l’art aborigène australien.
Cette première exposition d’art aborigène australien à être organisée au Maroc, présente une trentaine d’œuvres d’artistes autochtones à être considérées comme les plus marquantes du Continent australien.
La Fondation Jardin Majorelle est une organisation marocaine à but non lucratif et à vocation culturelle, située sur 3 hectares au cœur de Marrakech.
Ladite Fondation finance ses projets et soutient des programmes culturels, éducatifs et sociaux à travers le Royaume.
Créée en 2018, la Fondation Opale œuvre, quant à elle, à la préservation et une meilleure compréhension des cultures autochtones, et au dialogue entre communautés.
Cette institution culturelle suisse se consacre à faire connaître et rayonner l’art aborigène contemporain en proposant des expositions, des conférences, des ateliers et des rencontres avec des artistes.