Précurseur, SM le Roi Mohammed VI mène une action « multidimensionnelle et ouverte » en matière de promotion du dialogue interreligieux et de la paix, a souligné l’écrivain et poète sénégalais de renom, Amadou Lamine Sall.
« En avance, le Maroc a commencé très tôt le dialogue interreligieux à travers une action à la fois résolue et ouverte », a affirmé à la MAP le lauréat des Grands Prix de l’Académie française, saluant les efforts inlassables de SM le Roi pour « promouvoir les valeurs de tolérance et de paix dans la région, mais aussi dans le monde entier ».
« Le Maroc a toujours donné l’exemple en matière d’ouverture et de fraternité humaine, devenant ainsi un leader régional en la matière et un pourvoyeur du vrai islam, celui du juste milieu », a relevé le lauréat 2023 du Grand Prix du Festival de la poésie africaine, dont la majorité des œuvres portent sur la tolérance et l’amour universel.
Amadou Lamine Sall, qui participait mercredi à un hommage rendu à l’ancien chef d’État sénégalais, feu Léopold Sédar Senghor, au Vatican, a salué, à cet effet, les différentes initiatives de SM le Roi, Amir Al Mouminine, dans ce domaine, dont la Conférence parlementaire sur le dialogue interconfessionnel, qui se tient à Marrakech (13-15 juin).
Organisé par l’Union interparlementaire (UIP) avec le Parlement du Maroc, en partenariat avec « Religions for Peace » et avec le soutien de l’Alliance des civilisations de l’ONU et de la Rabita Mohammadia des Ouléma, le conclave de Marrakech connaît la participation de parlementaires, de chefs religieux, de représentants de la société civile qui engagent un dialogue constructif et échangent sur les meilleures pratiques pour résoudre les principaux problèmes entravant la coexistence durable.
Cette conférence internationale reflète les rôles importants et multiples joués par l’institution législative nationale, qui s’inspire de l’histoire millénaire du Royaume, riche en épisodes phares et exemples forts de tolérance religieuse et de coexistence.