
Aldar / Analyse
Dans une nouvelle décision qui illustre clairement l’embarras de la politique étrangère algérienne, les autorités algériennes ont décidé d’expulser le consul marocain à Oran. Cette mesure témoigne d’un état de confusion dans la gestion des dossiers diplomatiques du pays voisin, appartenant essentiellement à « l’autre monde ».
Cette décision s’inscrit dans une série d’actions incohérentes qui caractérisent la politique algérienne à l’égard du Maroc, soulevant ainsi des questions sur la capacité du régime algérien à gérer les défis diplomatiques avec clarté et stabilité.
Des observateurs estiment que cette escalade reflète une confusion au sein des cercles de décision en Algérie, où des décisions précipitées sont prises sans considération des répercussions politiques et diplomatiques à long terme.
Alors que la région a besoin d’apaiser les tensions et de renforcer la coopération régionale, l’Algérie semble avoir, une fois de plus, opté pour l’escalade, compliquant davantage les relations bilatérales entre les deux pays.
Cette décision intervient dans un contexte plus large de tensions croissantes entre l’Algérie et le Maroc, où les autorités algériennes ont pris l’habitude d’adopter des mesures escalatoires, reflétant un manque de clarté dans leur stratégie étrangère.
Et bien que des solutions diplomatiques rationnelles soient urgemment nécessaires, l’Algérie semble poursuivre une politique d’escalade qui risque d’accentuer son isolement sur la scène régionale et internationale.