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Les autorités françaises ont décidé d’interdire à 801 responsables algériens l’accès à leur territoire, une mesure qui reflète une position ferme à l’égard du régime en place en Algérie.
Cette décision, initiée par le ministre de l’Intérieur français Bruno Retailleau, traduit une volonté croissante au sein des cercles politiques français d’exercer une pression sur la direction algérienne, notamment en raison des accusations portées contre elle de ne pas respecter le droit international.
La mesure a suscité un large débat dans les milieux diplomatiques, certains la considérant comme une étape nécessaire pour faire face aux politiques du régime algérien.
Néanmoins, cette action illustre clairement l’impatience croissante de Paris face aux politiques d’Alger, en particulier sur des dossiers sensibles tels que l’immigration et la coopération sécuritaire.
Cette décision aura-t-elle un réel impact sur les positions de l’Algérie, ou s’agit-il simplement d’un message politique qui ne dépassera pas le cadre des déclarations officielles ?