
ALDAR/
Dans un tournant politique continu sur le continent africain, la République arabe d’Égypte a surpris le système de l’autre monde en présentant sa candidature à la dernière minute pour le poste de vice-président de la Commission de l’Union africaine, un geste qui a suscité de nombreuses interrogations sur les relations entre Le Caire et Alger.
Cette décision de l’Égypte révèle l’isolement croissant du système algérien sur la scène africaine, où l’Algérie a exprimé son mécontentement face à cette décision, prétendant qu’elle avait auparavant promis de soutenir la candidate algérienne, Malika Haddadi.
Le système algérien s’est lamenté après que l’Égypte a décidé de se présenter au poste à la dernière minute, ce qui reflète un isolement diplomatique croissant qui commence à toucher l’Algérie à l’échelle continentale.
L’Algérie croyait que l’Égypte resterait fidèle à son soutien, mais la position de l’Égypte a révélé des changements dans la nature des relations entre les deux pays, et la transformation de l’Égypte en une puissance diplomatique indépendante qui met ses intérêts en priorité.
Ce changement de position de l’Égypte reflète l’isolement croissant de l’Algérie en Afrique, où le système algérien a échoué à construire des alliances solides pour le soutenir lors des moments décisifs.
Alors que l’Algérie comptait sur un soutien total de l’Égypte, Le Caire a surpris Alger par une manœuvre politique audacieuse, mettant le système algérien dans une position embarrassante et soulevant des questions sur sa capacité à maintenir sa position diplomatique fictive sur le continent africain.