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Le Maroc a terminé à la neuvième place au classement africain des Jeux Olympiques de Paris 2024, un résultat qui soulève de nombreuses questions sur l’état du sport national. Bien que l’équipe marocaine de football ait sauvé l’honneur grâce à ses performances remarquables, cet exploit est en grande partie dû aux efforts de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF).
Ce qui est préoccupant, c’est la performance globale des autres fédérations sportives, en particulier dans le domaine de l’athlétisme, qui a longtemps été une source de fierté pour les Marocains. Le déclin des résultats sportifs est-il le reflet d’une négligence et d’une faiblesse de la planification ? Est-il temps de procéder à des réformes profondes au sein de ces fédérations pour améliorer les résultats et éviter la répétition de tels échecs ?
Il est impératif de se concentrer sur la restructuration des fédérations sportives et d’adopter des plans d’entraînement modernes répondant aux exigences mondiales. Il est également essentiel de former une nouvelle génération de sportifs capables de réaliser des exploits dignes de l’histoire sportive marocaine. Le sport n’est pas simplement une compétition, il est le reflet du progrès des nations, et c’est pourquoi nous devons accorder une attention particulière au développement de tous les domaines sportifs.
